« Pour le milieu forestier »
- Pas d’ornières, tiges d’avenir et régénération respectés
- Nécessite peu de pistes ou d’infrastructures d’accès
- Pas de blessures des bois donc pas de baisse de revenus
- Plus respectueux de la faune et la flore, des zones humides, des sols fragiles…
- Pas de tassement des sols
- Energie non polluante
- Limité à de petits bois (maximum 1m³ par cheval).
- Surface de travail limitée
« Par rapport à la machine »
- Travail en équipe
- Travail avec un être vivant
- Qualité de vie (calme, pas de pollution, pas de vibration dans le dos comme dans un tracteur,…)
- Soins continuels
- Risques de blessure du cheval
- Métier très physique parfois dangereux
- Limite du travail du cheval en temps et en puissance
« Par rapport au tracteur »
- Peu d’investissements
- Moins cher dans certaines conditions (petits chantiers, distances très courtes,…)
- Maniabilité tout terrains
- Bonne adhésion au sol (un tracteur peut perdre jusqu’à 70% de sa puissance à lutter contre les glissements)
- Insensible aux intempéries
- Fiabilité
- Intelligence (arrêt, évitement…)
- Nécessite des places de dépôt spécifique
- Sauf cas exceptionnel, en général plus cher
- Puissance limitée
- Cadence de travail limitée
- Entretien permanent, même hors période d’utilisation.
« Pour le milieu rural »
- Amplification du rôle social de la forêt
- Diversification possible pour des éleveurs et agriculteurs
- Maintient de l’animation rurale et d’emploi (maréchal-ferrant, bourrelier, vétérinaire,…)
- Conservation du patrimoine génétique des chevaux de trait
- Energie renouvelable (combustible= céréales/paille/foin, reproduction).
- Trop souvent perçu comme un recul en matière de technologie
- Peu encouragé par les pouvoirs publics
Sources: Association Hippotese